L’environnement économique et juridique est en perpétuelle évolution. Il y a tant de facteurs qui entrent en jeu quand il s’agit de faire le choix entre plusieurs investissements immobiliers locatifs. C’est d’autant plus intéressant surtout avec cette année 2018 plutôt riche en bonnes nouvelles.
Les investissements les plus prisés
De plus en plus de Français sont séduits par l’investissement immobilier locatif du fait de sa rentabilité, mais surtout parce qu’il permet de générer une rente régulière tout en créant un patrimoine durable. Avec un logement neuf acquis situé dans de grands bassins d’emplois tels que Paris, Lyon, Roissy-Sud Picardie, Toulouse, etc., le retour d’investissement se fera dans un délai nettement plus court. En plus, avec les avantages fiscaux nés du dispositif Pinel 2018, l’acquéreur est certain de pouvoir sortir gagnant de son investissement. Le rapport entre le prix d’acquisition et la valeur locative est également à analyser. Par exemple un appartement dans une commune charmante comme Roubaix pourrait afficher un rendement supérieur à celui situé à Paris, car le coût d’acquisition y est plus faible et le bien se loue mieux. L’investissement dans l’immobilier professionnel est l’une des options que les investisseurs immobiliers ne pensent pas toujours alors qu’il peut s’avérer être une bonne source de revenus locatifs. Que ce soit pour servir de bureau, d’atelier ou de siège commercial, le taux de vacance est très faible (autour de 4,5 % en région parisienne) et le marché est loin de s’essouffler vu le dynamisme économique encourageant de la France ces dernières années. Ainsi, un rendement aux alentours de 10% est possible.
Bien immobilier meublé ou non meublé ?
En effet, le choix est assez difficile. Par contre, les professionnels de l’immobilier confirment que l’un ou l’autre a ses avantages et ses inconvénients. La location des logements meublés est 20% plus chère que celle d’un logement vide. Le risque d’impayés est faible du fait qu’ils font souvent l’objet de location de courte durée. Le véritable problème c’est la vacance locative qui pourrait faire chuter le rendement si elle n’est pas maîtrisée avec tact. En outre, un logement meublé affiche une fréquence d’entretien plus élevée et donc un coût plus important. Selon les résultats de l’étude d’OpinionWay, la durée moyenne de location d’un meublé à Paris est estimée à deux mois et vingt-deux jours. De ce fait, les risques de dégradation sont plus probables et ils peuvent atteindre aussi bien le logement que les meubles. Par contre, un logement nu est le plus souvent consacré aux locations de longue durée. Le coût d’entretien est réduit et le taux de vacance plus bas.